samedi 17 décembre 2016

poeme perfere

Un poeme:elle avais pris ce plis. Elle avait pris ce plis dans son age enfantin De venir dans ma chambre un peu chaque matin Je l'attendais ainsi qu'un rayon q'on espere Elle entrait et disais :"bonjour mon petit pere" Prenait ma plume,ouvrait mes livres,s'asseyait Sur mon lit,derangeait mes papier,et riait Puis soudain s'en allait comme un oiseau qui passe Alors,je reprenais,la tete un peu moins lasse Mon oeuvre interompue,et,tout en ecrivant Parmi mes manuscris je rencontrais souvent Quelque arabesque folle et qu'elle avait tracee Et maintes pages blanche entre ces mains froisse Ou,je ne sais comment,venait mes plus doux vers Elle aimait dieu,les fleurs,les astres,les pres vers Et c'etait un esprit avant d'etre une femme Son regard refletait la clarte de son ame Elle me consultait sur tout a tous moments Oh!que de soir d'hiver radieux et charment Passes a raisonner langue,histoire et grammaire Mes quatrrs enfants groupes sur mes genoux,leur mere Tout pres,quelque amis causant au coin du feu J'appelais cette vie etre content de peu Et dire quelle est morte helas!que dieu m'assiste Je n'etais jamais gai quand je la sentait trite J'etais morne au milieu du bal le plus joyeux Si j'avais,en partant,vu quelque ombre en ses yeux NOVEMBRE 1946 JOURS DES MORTS HOMMAGE A LEOPOLDINE HUGO,FILLE DE VICTOR HUGO POEME DE VICTOR HUGO

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire